La Commission européenne intensifie sa pression sur les Vingt-Sept pour valider l'accord de libre-échange avec le Mercosur d'ici la fin de l'année. Bruxelles présente ce partenariat commercial comme une opportunité économique majeure pour l'Union européenne, malgré l'opposition persistante du secteur agricole.
L'exécutif européen a introduit de nouvelles clauses de sauvegarde pour répondre aux préoccupations des agriculteurs et des États membres. Selon Nice-Matin, la Commission a "entendu les réserves" et "accepté" ces mesures de protection en réponse aux inquiétudes exprimées par plusieurs pays.
Réserves françaises persistantes
La France reconnaît les progrès réalisés mais maintient ses réserves concernant l'accord commercial. Comme le rapporte Capital, la sénatrice Sophie Primas déclare que "la bataille n'est pas perdue" concernant l'opposition à cet accord controversé.
Les agriculteurs français continuent de manifester leur opposition farouche à ce partenariat avec l'Argentine, le Brésil, le Paraguay et l'Uruguay. Ils craignent une concurrence déloyale de produits agricoles ne respectant pas les męmes standards environnementaux et sanitaires européens.
Enjeux économiques et deadline
D'après La Dépęche, l'accord est présenté comme une "opportunité économique majeure" malgré les préoccupations agricoles exprimées. Les négociations UE-Mercosur se poursuivent depuis des années avec le secteur agricole s'opposant constamment en raison des risques de concurrence.
La Commission européenne fait face à un défi de taille pour convaincre les États membres récalcitrants avant l'échéance de fin d'année. L'équilibre entre les bénéfices économiques attendus et la protection des intéręts agricoles européens reste au cœur des débats.
Sources utilisées : "La Dépęche", "Capital", "Nice-Matin" Note : Cet article a été édité avec l'aide de l'Intelligence Artificielle.