L'attaque lors de Hanoukka à Sydney : un jeune du Bourget parmi 15 morts

upday.com 2 godzin temu
Candles and flowers are displayed during a tribute to Frenchman Dan Elkayam, one of the victims of the Bondi Junction attack, at Le Bourget, France on December 16, 2025 Getty Images

Des centaines de personnes se sont rassemblées mardi soir au Bourget, en Seine-Saint-Denis, pour rendre hommage à Dan Elkayam, un ingénieur informatique de 27 ans. Des assaillants ont tué ce jeune homme dimanche lors d'une attaque antisémite à Sydney, en Australie. La cérémonie, marquée par une minute de silence, des fleurs et des bougies, a eu lieu devant l'immeuble familial où il a grandi.

L'attaque de Sydney a visé une foule réunie pour la fęte juive de Hanoukka sur la plage de Bondi. Les deux assaillants, un père et son fils, ont tiré au moins 40 coups de feu pendant environ dix minutes. Le bilan fait état d'au moins 15 morts et 42 blessés. Les autorités australiennes ont qualifié l'acte d'« antisémite » et de « terroriste », visant à semer la panique parmi les Juifs du pays.

Un jeune homme apprécié de tous

Jean-Baptiste Borsali, le maire du Bourget, a souligné la « gentillesse » et la « joie de vivre » du jeune homme. Une amie de la mère de Dan a également témoigné lors de la cérémonie. « Tout ce qui est dit dans la presse, ce n'est pas juste parce qu'il est mort, il était vraiment comme ça », a-t-elle confié à l'AFP. Dans un message d'unité interreligieuse qui a déclenché des applaudissements, elle a ajouté : « Męme si normalement je ne devrais pas le préciser, je suis musulmane et je ne peux pas comprendre qu'au nom de quelle que religion (que ce soit) on puisse tuer un Juif ou qui que ce soit »

Julien Charles, préfet de Seine-Saint-Denis, a appelé dans son discours à « ne pas céder un pouce au poison de la haine antisémite ».

Une radicalisation liée à l'État islamique

Le Premier ministre australien a attribué la radicalisation des assaillants à « l'idéologie de l'État islamique (EI) ».

Dan Elkayam, expatrié en Australie, était passionné de football et avait beaucoup voyagé.

Des voisins, interrogés anonymement par l'AFP, ont décrit son ancien quartier en Seine-Saint-Denis comme un exemple de mixité, où ni la couleur de peau ni la religion ne causaient de conflits.

Note : Cet article a été créé avec l'Intelligence Artificielle (IA).

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