Quatorze mois après l'affaire qui a secoué le rugby français, Oscar Jegou s'exprime pour la première fois publiquement sur les accusations portées contre lui à Mendoza. Le flanker du XV de France et du Stade Rochelais a choisi de briser le silence face aux journalistes. « Ce n'est plus d'actualité », déclare-t-il avec fermeté.
Le joueur de 22 ans et son coéquipier Hugo Auradou avaient été accusés de « viol avec violence en réunion » en Argentine avant de bénéficier d'un premier non-lieu. Jegou affirme aujourd'hui vouloir se concentrer exclusivement sur le rugby. « Je joue au rugby, c'est tout ce que je fais », explique-t-il.
Une énergie décuplée
Loin de l'affaiblir, cette épreuve semble avoir renforcé sa détermination. « Ça m'a męme donné une énergie en plus, pour montrer que je suis encore là », confie le Rochelais. Il assure n'avoir jamais douté de sa valeur ni perdu sa concentration sur son sport.
D'après La Dépęche, cette prise de parole constitue en réalité la troisième déclaration publique de Jegou sur cette affaire. La conférence de presse a été organisée stratégiquement avant le match de haute volée contre Toulon, programmé le 22 septembre à 21h05.
Un retour assumé
Le flanker rejette l'idée d'avoir été écarté du rugby professionnel. « Je n'ai jamais senti que j'y étais sorti. Je suis toujours resté, męme là-bas, à travailler très dur », souligne-t-il. Comme le rapporte Rugbyrama, sa tęte est restée dans le rugby pendant toute cette période difficile.
Jegou a effectué son retour à la compétition en novembre 2023. Selon La Dépęche, il a maintenu des performances individuelles solides malgré les difficultés rencontrées par son équipe du Stade Rochelais. Cette saison, il peut enfin profiter d'une préparation estivale complète avec son club.
Focus sur l'avenir
Le joueur se dit « très content » de pouvoir travailler avec le groupe depuis le début de saison. Cette stabilité lui permet d'aborder les premières journées de championnat dans de meilleures conditions. Il insiste sur sa volonté de tourner définitivement la page de cette affaire judiciaire.
Sources utilisées : "Rugbyrama", "La Dépęche" Note : Cet article a été édité avec l'aide de l'Intelligence Artificielle.
